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Les beaux jours arrivent !

C'est l'occasion de se remettre aux activités extérieures :


Activité physique adaptée au Kiné Sport Santé Aubais !

Adaptation et mise en pratique du renforcement musculaire

Cas 1 - La sédentarité - Qui a du mal à trouver une activité - Pas de motivation de trouver une activité physique :


Manque d’activité physique et excès de sédentarité : une priorité de santé publique


95% de la population française adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis. Ces risques sont majorés lorsque le manque d’activité physique et l’excès de sédentarité sont cumulés. Certaines populations sont plus exposées. Promouvoir des modes de vie favorables à la pratique d’activités physiques et à la lutte contre la sédentarité doit constituer une priorité des pouvoirs publics selon l’Anses.

Certaines catégories de population davantage concernées Aujourd’hui, seuls 5% des adultes ont une activité physique suffisante pour être protectrice. En effet, en 2016, l’Anses avait identifié le besoin de cumuler différents types et niveaux d’activité pour être en bonne santé :

  • pratiquer 30 minutes, 5 fois par semaine, une activité cardiorespiratoire comme monter les escaliers ou faire du vélo, courir, marcher à bonne allure ;

  • effectuer du renforcement musculaire 1 à 2 fois par semaine comme, porter une charge lourde, jouer au tennis, faire de la natation ou de l’aérobic ;

  • réaliser des exercices d’assouplissement comme de la gymnastique, de la danse ou encore du yoga, 2 à 3 fois par semaine.

Accélération des exercices en cardio

Nos travaux révèlent que les femmes sont plus exposées à un manque d’activité physique. En effet, 70 % d’entre elles sont en deçà de tous les niveaux d’activité identifiés pour être en bonne santé, contre 42 % des hommes. Concernant la sédentarité, passer plus de 8 heures par jour en position assise expose à un risque pour la santé. Les adultes à faible niveau d’études et les moins de 45 ans sont les plus touchés. Des risques d’autant plus élevés que les expositions sont cumulées En France, plus d’un tiers des adultes cumulent un niveau de sédentarité élevé et une activité physique insuffisante. Ces personnes présentent ainsi des taux de mortalité et de morbidité plus élevés. « Par exemple, elles sont davantage exposées aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. Elles sont également plus à risque d’hypertension ou d’obésité. D’une façon générale, les risques associés à l’inactivité et à la sédentarité sont majorés lorsqu’ils sont cumulés » explique le Pr Irène Margaritis, cheffe de l'Unité d'évaluation des risques liés à la nutrition à l’Anses.

Des risques sanitaires pourtant évitables, par des actions collectives Bien sûr, l’initiative personnelle occupe une place importante, tant pour la pratique d’une activité suffisante que pour la réduction de la sédentarité.

Mais pour atteindre des niveaux suffisants à l’échelle individuelle, l’Anses souligne l’importance des actions collectives et de long terme par la création d’un environnement global favorable à l’évolution des comportements. Une meilleure prise en compte de la pratique sportive dans les politiques publiques est absolument essentielle pour prévenir les risques sanitaires. L’Agence rappelle que la mise en œuvre de ces recommandations rencontre aujourd’hui des obstacles sérieux qui relèvent notamment de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire, des modes de transport et de l’organisation du temps et des espaces de travail ou scolaires.


C’est l’organisation même de nos modes de vies qui est à revoir : que ce soit dans l’espace public, en laissant davantage de place aux mobilités actives comme le vélo ou la marche, ou sur le lieu de travail, en favorisant la pratique sportive et en limitant les temps de sédentarité, ou encore dans le système scolaire en augmentant l’espace et le temps dédiés aux activités physiques et sportives

Source : IRÈNE MARGARITIS CHEFFE DE L'UNITÉ D'ÉVALUATION DES RISQUES LIÉS À LA NUTRITION À L’ANSES Cette étude fait suite à l’alerte émise fin 2020 concernant le manque d’activité physique chez les jeunes et s’inscrit dans la continuité des travaux antérieurs de l’Agence sur le sujet, en particulier ceux de 2016 relatifs à l’actualisation des repères relatifs à l’activité physique et à la sédentarité et ceux de 2020 réalisés à l’occasion du confinement.



Démonstration des exercices par le coach

Cas n° 2 - ALD Affection Longue Durée (Prise en charge pour certaines mutuelles) :


Activité physique adaptée : conseils pratiques pour l’intégrer dans son parcours de soins.

Vous êtes en traitement ou en convalescence pour une affection de longue durée (ALD) et votre médecin vous recommande de pratiquer régulièrement une activité physique. Il vous a même peut-être fait une ordonnance pour pratiquer ce que l’on appelle de l’« activité physique adaptée » ou APA, en même temps qu’il vous a prescrit des médicaments. En effet, depuis la loi de modernisation de notre système de santé datant de 2016, les médecins peuvent « prescrire » de l’activité physique adaptée. Cela s’avère tout à fait pertinent puisque la Haute Autorité de Santé (HAS) assimile l’activité physique à « une thérapeutique à part entière ». Alors à quoi correspond ce type de prescription ? Qui dispense des cours d’activité physique adaptée ? Où trouver des cours près de chez soi ? Est-ce remboursé par l’Assurance maladie ? Comment l’intégrer dans son parcours de soins et jusqu’à quand ? Voici quelques informations et conseils pratiques sur le sujet. POURQUOI PRATIQUER UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE EN PRÉVENTION MAIS AUSSI QUAND ON EST MALADE ? En dehors du fait que la sédentarité entraîne souvent de nombreux problèmes de santé tels que le surpoids voire l’obésité, des troubles cardio-vasculaires, du diabète et de nombreuses autres comorbidités qui peuvent s’ajouter à des pathologies déjà installées ou les aggraver, il est également prouvé que l’activité physique a de réels bénéfices pendant et après la maladie. La Ligue contre le Cancer rappelle par exemple dans sa brochure concernant l’activité physique et l’alimentation que :

  • « Si les femmes pratiquaient une activité physique régulière, 25% des cancers du sein, de l’endomètre et du côlon (femmes et hommes) pourraient être évités. »

  • L’activité physique « peut diminuer aussi principalement les risques de récidive de cancers du côlon, du sein et de la prostate. Cette réduction du risque est en moyenne de 40 à 60% selon les cancers. »

  • « Débutée après un cancer, l’activité physique est associée à la réduction de deux risques : celui de décéder de ce cancer et celui de décéder prématurément de n’importe quelle autre pathologie que son cancer (par exemple, d’un diabète ou de maladies cardio-vasculaires : infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral). Ces deux risques sont diminués en moyenne de 30 à 40% pour les cancers du côlon, du sein et de la prostate. »

Côté diabète pour citer un autre exemple, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime que la sédentarité est la cause principale de 27% des cas de diabète. Il est donc intéressant de pratiquer une activité physique pour prévenir le risque d’apparition du diabète mais il n’est pas question d’arrêter cette pratique une fois la maladie déclarée puisque l’activité physique permet notamment d’augmenter la sensibilité de l’organisme à l’insuline.


Adaptation suivant la pathologie avec le coach

DÉFINITION DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ET DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit l’activité physique comme : « Tout mouvement corporel produit par les muscles qui requiert une dépense d’énergie – ce qui comprend les mouvements effectués en travaillant, en jouant, en accomplissant les tâches ménagères, en se déplaçant et pendant les activités de loisirs. ». L’OMS différencie bien l’activité de l’exercice physique qui vise à améliorer un ou plusieurs aspects de la condition physique par le biais d’exercices ciblés et souvent répétitifs et elle précise que : « Au-delà de l’exercice, toute autre activité physique, que ce soit pour les loisirs, pour se déplacer d’un endroit à l’autre, ou dans le cadre de l’activité professionnelle, a des effets bénéfiques sur la santé. En outre, une activité additionnelle d’intensité modérée ou vigoureuse permet d’améliorer la santé. » Cependant lorsque l’on est malade, selon son âge et l’évolution de sa pathologie, tous les patients ne peuvent pas prétendre au même niveau d’intensité dans la pratique d’une activité physique, que cela soit dans leur quotidien à la maison, au cours de leurs loisirs ou plus particulièrement dans le cadre de séances d’activité physique qui sont alors « adaptées » à leur situation, qui tiennent compte des contre-indications médicales éventuelles et qui sont dispensées par des intervenants spécifiquement formés, ainsi que l’a proposé la loi de modernisation de notre système de santé en 2016. Source : France Assos Santé Si vous voulez connaître les mutuelles prenant en charge les ALD voir l'article sur le site


Cas n° 3 - Sportif amateur blessé ou en souffrance qui veut reprendre le sport :


Echauffement et démonstration technique avec le coach

Suivi préparation physique

  • Sportif de haut niveau

  • Renfo à haute intensité

  • Prévention blessure






La préparation physique est l’ensemble organisé et hiérarchisé des procédures d’entraînement qui visent au développement et à l’utilisation des qualités physiques du sportif. Elle peut être dissociée de la discipline sportive (Prépa. Physique Générale, se rapproche du « coaching ») et/ou spécifique à la discipline sportive.


Préparation physique mise en situation

Elle concerne toute les personnes à cœur de vouloir progresser dans leur pratique sportive personnelle mais également pour celles qui souhaitent débuter la course à pied.



Nos solutions :


* Après un bilan Kiné Sport Santé nous mettrons en place l'activité physique qui correspond à vos objectifs.

* Un protocole adapté sera ensuite mis en place avec l'EAPA et le préparateur physique.


* Choix personnalisé de votre activité en fonction de votre niveau physique en piscine, salle ou extérieur.

Avec Kiné Sport Santé, des pratiques à votre rythme !

Chacun à son rythme !



Salle ou extérieur : Gym douce, Renfo spécifique, Prépa physique, Tennis santé FFT


Piscine : Aquagym & Aquabike Voir le planning des cours


Accompagnement personnalisé avec l'EAPA et un préparateur physique




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